Rentrée de septembre : un risque de burn-out ? Partie 1
Les vacances prennent déjà fin et le retour au travail se profile à l’horizon. La rentrée de septembre commencera la semaine prochaine : comment diminuer la charge mentale, éviter le burn-out et repousser le stress ? Nous verrons qu’il est possible de transformer cette effervescence annuelle en opportunité, notamment grâce à la sophrologie.
La rentrée de septembre, un passage annuel inévitable
Un fois encore, l’été est passé bien vite pour laisser place à une nouvelle année, introduite par la fameuse rentrée de septembre. C’est le temps du retour en classe pour les écoliers et les étudiants, de la reprise du travail pour les salariés et les indépendants. L’évènement concerne la quasi totalité de la population, des plus jeunes jusqu’à certains retraités encore actifs. Il suscite souvent des émotions paradoxales, un mélange d’excitation et d’appréhension.
La rentrée de septembre peut s’avérer particulièrement ambiguë dans certains cas de figure. Par exemple pour les enfants entrant à l’école pour la première fois, pour les adolescents passant du primaire au collège, pour l’entrée en cursus particulièrement exigeants comme la terminale ou les classes préparatoires, pour les adultes changeant de travail ou de région. (Voir l’article « La sophrologie face à un changement de vie » disponible sur l’onglet blog de ce site). Pour la plupart des gens, la rentrée de septembre reste un moment ambivalent. Elle nécessite souvent de prévoir une logistique en amont, au moment où les vacances estivales ne sont même pas encore terminées.
La rentrée de septembre souvent synonyme de charge mentale
Souvent, la rentrée de septembre implique des rendez-vous médicaux, des portes-ouvertes et des inscriptions, des courses d’ampleur et donc des dépenses, des réunions, de nombreux déplacements. Il faut organiser l’année qui commence, définir des emplois du temps, mettre en place un certain rythme, se fixer des priorités, gérer des budgets, écrire des listes, caler son agenda et parfois celui de chacun des membres de la famille. Le tout sous pression, car ces décisions paraissent fondamentales pour le bon déroulement des mois à venir.
En bref, la rentrée de septembre est souvent synonyme de charge mentale et physique. Elle génère beaucoup d’obligations et laisse peu de place à la spontanéité. Il s’agit d’une véritable source de dépense, sur le plan de émotionnel, corporel et même financier. Conséquemment, la rentrée de septembre peut devenir un grand sujet de stress, qui va donner l’impression persistante de rater le départ de la course, d’être stoppé dans son élan. Cet événement banal se transforme alors en une période négative, voire en un véritable motif d’angoisse.
Quand le stress de la rentrée se mue en burn-out
La rentrée peut s’avérer nuisible pour la santé, en particulier pour les personnes ayant tendance au stress. Dans les cas les plus lourds, elle peut provoquer un burn-out avant même d’avoir entamé l’année.
La rentrée de septembre est une période récurrente de changement dans le cycle annuel. (Voir l’article « Les résolutions de début d’année, tradition futile ou challenge intéressant ? » disponible sur l’onglet blog de ce site). A ce titre, elle peut occurrer des cogitations, du stress, des dégradations du sommeil, de l’hygiène de vie, des maux variés, une aggravation des addictions, pulsions alimentaires ou TOCS. Pourtant, elle est peut être vécue différemment. Afin d’envisager les choses sous un autre angle, des pistes de réflexions comme outil de base sont à explorer.
Voir la suite de cet article « » disponible sur l’onglet blog de ce site.
